User-agent: facebot User-agent: twitterbot User-agent: Photon/1.0 User-agent: CCBot User-agent: GPTBot User-agent: ChatGPT-User User-agent: anthropic-ai User-agent: FacebookBot User-agent: Amazonbot User-agent: Applebot Disallow: /

Colombie-Britannique

Apprenez-en davantage sur la profondeur de champs

Une courte profondeur de champs isole le sujet. Elle le fait ressortir contre un arrière-plan flou parce que l’oeil de l’observateur est naturellement attiré par un sujet net. Pour ce plan rapproché d’une biche, j’ai choisi un téléobjectif (focale longue de 400 mm) et une grande ouverture à f/5.6. À noter qu’une vitesse d’obturation élevée réduit également la profondeur de champs.

doe black-tailed deer, Odocoileus hemionus columbianus, Vancouver Island, British Columbia, Canada, rights-managed, © Catherine Babault

Canon EOS 5DS R - Objectif Canon EF 100-400 mm f/4.505.6L IS II USM

f/5.6 pendant 1/200 seconde et 1600 ISO, focale longue de 400 mm

Une grande profondeur de champs met le sujet en contexte. L’image entière est nette ainsi l’observateur tend à regarder le sujet en relation avec ce qui l’entoure. Ici j’ai voulu montrer la souche d’un arbre ancien par rapport à la forêt et les montagnes en arrière-plan. J’ai donc choisi un objectif à grand angle (focale courte de 70 mm) et une petite ouverture de f/11.

stump of an old-growth tree and view of mountains, Vancouver Island, British Columbia, Canada, rights-managed, © Catherine Babault

Canon EOS 5DS R - Objectif Canon EF 24-70 mm f/2.8L II USM

f/11 pendant 1/30 seconde et 400 ISO, focale courte de 70 mm

10% de rabais sur l’atelier photo à Tofino, Colombie-Britannique

Jusqu'au 15 août, profitez du rabais de 10 % sur mon atelier de photo de nature à Tofino, en Colombie-Britannique. Utilisez le code de promotion TOFINO2022 au checkout.

Les places sont limitées alors inscrivez-vous tôt !

Au cours de l'atelier, vous aurez l'opportunité de photographier les incroyables paysages et la faune charismatique aux environs de la réserve de parc national Pacific Rim, Ucluelet et Tofino.

Au plaisir de vous montrer en personne mes endroits préférés pour la photographie de nature dans cette belle région de l’Île de Vancouver !

Ateliers pour 2023 et nouvelles vidéos

Je me souviens de la révolution culturelle lorsque les premiers vidéos clips sont apparus à la télévision dans les années 1980. Aujourd’hui, tout le monde publie des vidéos sur TikTok, YouTube, etc. C’est pourquoi, je viens de produire et poster mes deux premières vidéos sur YouTube, que vous pouvez regarder ici. Vous y découvrirez notamment des photos rares de la marmotte de l’Île de Vancouver, une espèce menacée d’extinction.

Suite à une augmentation des demandes venant de photographes des États-Unis et d’Europe, je viens d’ajouter plusieurs ateliers photo pour 2023. Il reste de la place pour les ateliers de 2022. Le nombre maximum de participants par atelier étant de cinq, n’attendez-pas trop longtemps avant de vous inscrire.

''I took her workshop and it was very informative at the same time enjoyable. we discovered amazing part of island and shoot lots of pictures. Catherine is very professional and friendly. She opened up my eyes in different perspective of photography. She is also very patient and explain everything in detail. By end of our workshop I am more comfortable with camera settings, composition. long exposure and work on tripod 😃. I highly recommend her workshop for anyone who wants step in nature, landscape and wildlife photography.'' Mehrdad S.

Je vous souhaite de profiter des longues journées d’été pour explorer la nature et photographier des animaux mignons comme ce bébé cerf à queue noire entrevu plus tôt cette semaine sur l’île de Vancouver.

New workshops for this summer!

Summer is an ideal time to reconnect with nature and hone your skills as a nature photographer. Join me for a unique photo workshop in beautiful Strathcona Park, on Vancouver Island, British Columbia, Canada.

I have added three new workshops on weekends for your convenience:

Limited to 5 participants. Sign up today!

Tel que vu à CBC Radio-Canada

Réalisation et montage : Pierre Beaudoin, caméra : Alexandre Lamic, CBC Radio-Canada

Photo : Alexandre Lamic, Radio-Canada

L’automne dernier, j’ai eu le plaisir d’être filmée par CBC Radio-Canada sur le terrain sur l’Île de Vancouver. Au cours de l’entrevue, je parle d’espèces menacées dans la région et d’espèces à risque d’extinction comme la marmotte de l’Île de Vancouver. Je mentionne aussi l’importance de l’éthique dans la photographie de nature pour préserver le monde naturel; nous pouvons tous faire notre part en gardant une distance sécuritaire avec les animaux, en évitant de les déranger dans leur routine et en n’interférant pas avec leur habitat.

Je vous invite à regarder la vidéo ici.

Photos abstraites, truc en photo et atelier du printemps

abstract photography of rust and peeling paint by Catherine Babault, Canadian photographer in British Columbia

Loop - Abstract Photography

Les voyages font partie de ma vie alors, après plus de deux ans sur place, il était temps de sortir de l’Île de Vancouver.

Je prépare toujours soigneusement mes aventures : lieux à visiter, sujets à photographier, trajets, etc., c’est pourquoi je me suis rendue à Astoria, en Oregon. Je souhaitais photographier un vieux wagon rouillé, des bateaux abandonnés et des bâtiments marqués par le passage du temps. Ma préparation et le temps consacré sur place pour ce projet ont donné des résultats au-delà de mes attentes. Vous pouvez en commander des tirages.

 

Comme je mentionne souvent au cours de mes ateliers, il est important de prendre son temps sur le terrain : trouver son sujet, penser à sa composition, bien réglé son appareil en fonction des résultats escomptés (cadrage, profondeur de champs, vitesse d’obturation, etc.) Cela permet d’obtenir de meilleurs résultats que de prendre plein de photos dans l’espoir que l’une d’entre elles sera assez bonne et ensuite tenter de corriger ses défauts en post-traitement.

Ce printemps, reconnectez-vous avec la nature et inscrivez-vous seul(e) ou avec un proche à une excursion photo sur l’Île de Vancouver, en Colombie-Britannique ! Le printemps est un temps idéal pour voyager : c’est une incroyable palette de couleurs, la fonte des neiges fait gonfler les cascades et les animaux sont occupés avec leurs petits : des sujets très photogéniques. Je vous invite à vous inscrire à mon atelier du 27 au 29 mai, les places sont limitées à 5 personnes.

Spot Distracting Elements

When I am on a photo excursion in the forest, the red-legged frog tends to appear when I least expect it. Their colour is an excellent form of camouflage. Often, it is their leap at my approach that catches my eye. During any chance encounter with an animal, it is sometimes difficult to predict their reaction: will they run away or stay put? That’s why my first reaction is to stop and anticipate their intentions. Then I started moving cautiously to avoid frightening them while I think about my composition and my distance from the animal.

red-legged frog, Vancouver Island, British Columbia, Canada. © Catherine Babault

Spot the distracting elements in this image.

I determine where the light is coming from and if there is a backlight. I identify elements such as a branch in front of the frog or any other shape or object that might distract the attention of the person looking at the photo. I move slowly and, once in position, I carefully deploy my tripod. A stressed frog will puff up its abdomen to deter predators. I therefore keep an eye on my subject to assess their level of comfort; if I notice that they are stressed, I leave even though I have not got a shot. The animal wellbeing is more important to me than my portfolio. Once the camera is mounted on the tripod, I adjust the settings and frame based on the intended result before releasing the shutter. Then I check the composition and histogram on the camera screen.

Because it is a chance encounter with a wild animal, everything happens very quickly and yet quietly so as not to stress it. Also I don’t overstay to avoid disturbing the animal in its routine.

Final result after I repositioned myself. Photo in full format.

Repérez les éléments distrayants

Lorsque je suis en excursion photo dans forêt, les grenouilles à cuisse rouge ont tendance à apparaître quand je m’y attends le moins. Leur couleur est une excellente forme de camouflage. Bien souvent, c’est leur saut à mon approche qui attire mon attention. Lors de toute rencontre fortuite avec un animal,  il est parfois difficile de prévoir leur réaction : vont-ils s’enfuir ou bien rester sur place ? C’est pourquoi ma première réaction est de m’arrêter et anticiper leurs intentions. Ensuite je bouge avec précaution pour éviter de les effrayer et je commence aussitôt à penser à ma composition et à ma distance par rapport à l’animal.

grenouille à cuisse rouge, Ile de Vancouver, Colombie-Britannique, Canada. © Catherine Babault

Cherchez les éléments distrayants sur cette photo.

Je détermine d’où vient la lumière et s’il y a un contre-jour. J’identifie des éléments comme une branche devant la grenouille ou tout autre forme ou objet qui pourrait distraire l’attention de la personne qui regardera la photo. Je me déplace doucement et, une fois en position, je déploie mon trépied lentement. Une grenouille stressée va gonfler son abdomen, c’est une façon de décourager les prédateurs. Je garde donc un oeil sur mon sujet pour évaluer son niveau de comfort; si je constate qu’elle est stressée, je pars même si je n’ai pas obtenu de photo. Le bien-être de l’animal est plus important pour moi que mon portfolio. Une fois l’appareil fixé sur le trépied, j’effectue les réglages et cadre en fonction du résultat visé avant de déclencher l’obturateur. Puis je vérifie la composition et l’histogramme sur l’écran de l’appareil photo.

Comme il s’agit d’une rencontre fortuite avec un animal sauvage, tout se passe très rapidement et cependant tranquillement pour ne pas le stresser. J’évite aussi de rester trop longtemps pour ne pas déranger l’animal dans sa routine.

grenouille à cuisse rouge, Ile de Vancouver, Colombie-Britannique, Canada. © Catherine Babault

Résultat final après m’être repositionnée. Photo en plein format.

Ateliers de photographie de nature sur l'Île de Vancouver, Colombie-Britannique, en 2022

Que vous soyez déjà sur l’Île de Vancouver ou que vous prévoyez de la visiter cette année, voici une liste de mes ateliers photo en 2022 :

  • 29 janvier - Strathcona Park

  • 26 février - Strathcona Park

  • 21-23 mars - Herring Spawn on Vancouver Island

  • 27-29 mai - Spring on Vancouver Island

  • 19-23 septembre - Tofino (en français seulement)

  • 3-7 octobre - Tofino

  • 13-16 octobre - Fall Colours on Vancouver Island

  • Ateliers photo d’une demi-journée, Vallée de Comox (en français seulement) : 7 mai, 4 juin, 2 juillet, 6 août

  • Ateliers photo d’une demi-journée, Vallée de Comox (en anglais seulement) : 14 mai, 11 juin, 9 juillet, 13 août

Si vous préférez, vous pouvez demander un atelier privé qui va d’une journée à plusieurs jours. Réservez tôt car je commence déjà à recevoir des demandes pour cet été.

Au plaisir de vous montrer mes endroits préférés sur l’Île de Vancouver pour la photographie de nature et de vous aider à améliorer vos techniques en photographie !

What makes my photo workshops different from others?

(Le texte en français suit)

  • I live on Vancouver Island. As a local, I know the area very well. I spend a lot of time in the field, all year long, no matter the weather, tracking wildlife and looking for the best places and times to photograph nature.

  • As an ethical nature photographer, I respect the environment: fauna and flora. The well-being and safety of wild animals always has priority over the participants’ aspirations. We limit our impact on their habitat as much as possible.

  • I offer a safe and friendly learning environment for everyone no matter their gender, sexual orientation, identity, background, culture, age or abilities. I am part of a minority myself.

  • During the workshops, my time is entirely dedicated to the participants, not to my own shots.

  • I am fluent in both English and French.

  • Learning does not stop at the end of the workshop. I am always available for follow-up questions.

En quoi mes ateliers de photo sont-ils différents des autres ?

  • Je vis sur l'île de Vancouver. En tant qu’habitante, je connais très bien la région. Je passe beaucoup de temps sur le terrain, toute l'année, quelle que soit la météo, à pister la faune et à chercher les meilleurs endroits et moments pour photographier la nature.

  • En tant que photographe de la nature éthique, je respecte l'environnement, la faune et la flore. Le bien-être et la sécurité des animaux sauvages ont toujours priorité sur les aspirations des participants. Nous limitons au maximum notre impact sur leur habitat.

  • J'offre un environnement d'apprentissage sûr et convivial pour tout le monde, quel que soit son sexe, son orientation sexuelle, son identité, ses origines, sa culture, son âge ou ses capacités. Je fais moi-même partie d'une minorité.

  • Pendant les ateliers, mon temps est entièrement dédié aux participants, pas à mes propres prises de vue.

  • Je parle couramment l'anglais et le français.

  • L'apprentissage ne s'arrête pas à la fin de l'atelier. Je suis toujours disponible pour les questions de suivi.

The making of my photo book Vancouver Island Wildlife

When I moved to Vancouver Island many years ago, I was fascinated by the diversity of fauna, flora and landscape. From the mountain meadows to the ocean, there are so many species to study and photograph. Some are permanent residents while others are seasonal visitors. All are very interesting. While exploring my new surroundings, I noticed the human impact on the environment and became aware of species at risk. With the help of a photo book, I hoped to show the beauty and diversity of Vancouver Island’s wildlife and raise awareness about our responsibility towards the conservation of its unique ecosystems.

For my book project, I researched many species to learn about their habitat, diet, biology, etc. I visited remote locations, sometimes by boat or floatplane. Often I got up in the middle of the night to be in the field by sunrise. I travelled long distances by vehicle and on foot. I walked in the snow, rain, fog and mud, sometimes I stepped on smelly things like rotten salmon on riverbanks. I prepared all my trips carefully because this is wilderness; I studied maps, topography, weather forecast, tide tables, sunrise and sunset times, and I maintained my vehicle in good condition, with an emergency kit and other essential items. This was a full-time project, working up to 60 hours a week, and it took me over a year to compile enough images for a photo book.

I edited thousands of images to select less than two hundred. My images had to be bold, uncluttered and well composed. I processed each one of them and converted them in CMYK for printing. Then I started to design the book and write the text. English is not my first language so I hired a professional translator in Victoria to proofread the text. I asked a professional photographer in my city to review my selection of images and give me honest feedback. At that point, I started to contact several printers in Canada before choosing one in Vancouver. I used offset printing instead of digital printing; although it is a lot more expensive, it is the best quality printing for a photo book. You could say that my book is 100% made in British Columbia from the subject to the printer. Some might think CAD$40 is expensive for a book but think about all the costs involved: camera equipment, travel expenses (gas, accommodation, meals), car maintenance, car insurance, business insurance, business licence, professional services (bush pilot, proofreader, printer, website…), and my time dedicated to this amazing project.

I feel very humble by the incredible success of this book. I won a Nautilus book award in the USA and received great feedback from the media. I am always touched to hear kind comments from readers in Canada, the USA and Europe. I hope that my book has achieved its goal: showing the beauty and fragility of our environment so that we are all aware of our collective responsibility towards its protection for future generations.

Order a copy

Atelier au Congrès virtuel de l'APPIPC 2021

Le 22 octobre, j’ai eu l’honneur de donner un atelier sur la photographie de nature lors du Congrès virtuel de l’APPIPC dont le sujet cette année est En harmonie avec la nature. C’est toujours un plaisir de partager ma passion pour la photographie avec un auditoire intéressé et engagé.

Je donne des ateliers virtuels dans les écoles de la maternelle à la 12e année (K-12), en français et en anglais, en Amérique du Nord et au-delà. Contactez-moi pour réserver un atelier dans votre établissement scolaire.

À la télévision de Radio-Canada

Cet été, j’ai eu l’agréable surprise d’être contactée par le réalisateur de l’émission jeunesse ONIVA à Radio-Canada, qui souhaitait faire une entrevue pour présenter mon travail de photographe de la nature.

Cette semaine, j’ai eu le plaisir de rencontrer Pierre Beaudoin en personne sur l’Île de Vancouver pour concrétiser ce projet. J’ai apprécié cette première expérience devant la caméra dans une atmosphère relax et amicale et de montrer un de mes endroits préférés sur l’Île de Vancouver pour la photographie de nature en automne.

Le reportage sera prochainement diffusé à l’émission ONIVA et disponible sur YouTube. À suivre…

Pierre Beaudoin, réalisation, Alex, caméraman et Catherine, après le tournage.

Pierre Beaudoin, réalisateur, Alex Lamic, vidéographe, et Catherine Babault.

Photographier les wapitis de Roosevelt

Certaines espèces sont plus actives que d’autres aux aurores comme le wapiti de Roosevelt. Ce qui veut dire que je dois me lever en plein milieu de la nuit pour aller les photographier car la harde que je connais bien vit à plusieurs heures de route de chez moi.

_D093302a.jpg

Je photographie cette harde depuis les dernières années et j’anticipe toujours beaucoup nos rencontres potentielles. Rien n’est jamais donné avec la faune. Parfois ils ne se montrent pas ou bien je dois attendre tranquillement pendant des heures.

J’ai un lieu préféré pour photographier cette harde de wapiti à partir d’une distance respectueuse et d’un point de vue dégagé. Au cours d’une récente visite, alors que je marchais vers ce lieu, j’ai remarqué que la harde se rendait déjà dans cette direction. J’ai donc commencé à marcher plus vite, mais silencieusement, afin que les wapitis ne remarquent pas ma présence. Je suis arrivée la première, j’ai mis mon trépied en place, effectué les réglages sur mon appareil photo et j’ai attendu quelques minutes. Je pouvais les entendre se mouvoir dans la forêt et marcher sur des bouts de bois secs. Lorsqu’ils sont sortis de la forêt, les femelles ont traversé la rivière en premier tout en entourant les petits, probablement pour les protéger d’éventuels prédateurs. Le dernier à apparaître, pour fermer la marche, était le cerf avec ses bois majestueux. Je n’avais que cinq minutes pour les photographier avant qu’ils ne disparaissent à nouveau de ma vue et j’ai apprécié chaque minute.

À chaque fois que je vois cette harde, je me sens privilégiée d’être le témoin de moments importants dans leur vie, de voir les femelles enceintes ou allaiter leurs petits, d’observer les jeunes s’amuser à se pourchasser et de voir le cerf marcher fièrement autour de son harem d’une douzaine de femelles. Avec le début de la saison du rut, j’espère pouvoir être en mesure de photographier leur comportement notamment celui du cerf.

Excursion photo à Tofino

Si un voyage à Tofino en septembre vous tente, j'y donne un atelier du 20 au 24 septembre (en français seulement). Nous passerons nos journées soit sur les plages de sable fin du Pacific Rim ou dans la forêt tempérée humide. La côte ouest de l’Île de Vancouver a beaucoup offert en matière de magnifiques paysages et vie sauvage. Le nombre de places est limité à 5 personnes. Inscrivez-vous ici !

Assouplissement des mesures frontalières pour les voyageurs entièrement vaccinés qui entrent au Canada

À compter du 9 août 2021, les citoyens et résidents permanents entièrement vaccinés des États-Unis, qui vivent actuellement dans ce pays, pourront entrer au Canada pour un voyage discrétionnaire (non essentiel). Le 7 septembre 2021, à condition que l'épidémiologie de la COVID-19 au Canada le permette, le gouvernement entend ouvrir ses frontières aux voyageurs qui se déplacent pour un motif discrétionnaire, peu importe le pays d'où ils arrivent, s'ils ont été entièrement vaccinés.

En apprendre davantage sur le site de l’Agence de la Santé publique du Canada.

Television Interview - Entrevue à la télévision

On 4 July, I had the pleasure of talking to Geneviève Murchison, host of the television program Connexion on Radio-Canada, about my passion for nature photography. What a great way to start the summer!

In case you missed it, you can watch it here. It’s in French and starts at the 17:00 mark.

Le 4 juillet, j’ai eu le plaisir de parler avec Geneviève Murchison, animatrice du programme de télévision Connexion sur Radio-Canada, de ma passion pour la photographie de nature. Quelle superbe façon de commencer l’été!

Si vous avez manqué l’émission, vous pouvez la revoir ici. Ça commence à la 17e minute.

Les ateliers de photo de nature maintenant ouverts aux Canadiens de partout au pays!

À partir du 1er juillet 2021, la Colombie-Britannique ouvre ses portes aux voyageurs venant du Canada. Pour les voyageurs internationaux, la frontière canadienne reste fermée pour les voyages jugés non-essentiels, même pour les voyageurs vaccinés.

Nos ateliers de photo de nature sont donnés en plein air seulement et nous prenons toutes les mesures nécessaires pour assurer votre sécurité en temps de pandémie. Le port d’un masque n’est pas requis à l’extérieur, toutefois nous demandons à tous ceux qui participent à l’évènement en plein air de respecter une distance physique de 2 mètres, à moins que vous ne viviez ensemble. Nous fournissons du gel désinfectant pour les mains.

N’hésitez pas nous faire parvenir vos questions et commentaires durant cette période de transition vers un retour à la normale.

En savoir plus sur les ateliers offerts cet été.

_ABN3280aFr.jpg


Directives du Gouvernement de la Colombie-Britannique (en anglais seulement) : https://www2.gov.bc.ca/gov/content/covid-19/info/restrictions