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Ile de Vancouver

10% de rabais sur l’atelier photo à Tofino, Colombie-Britannique

Jusqu'au 15 août, profitez du rabais de 10 % sur mon atelier de photo de nature à Tofino, en Colombie-Britannique. Utilisez le code de promotion TOFINO2022 au checkout.

Les places sont limitées alors inscrivez-vous tôt !

Au cours de l'atelier, vous aurez l'opportunité de photographier les incroyables paysages et la faune charismatique aux environs de la réserve de parc national Pacific Rim, Ucluelet et Tofino.

Au plaisir de vous montrer en personne mes endroits préférés pour la photographie de nature dans cette belle région de l’Île de Vancouver !

Ateliers pour 2023 et nouvelles vidéos

Je me souviens de la révolution culturelle lorsque les premiers vidéos clips sont apparus à la télévision dans les années 1980. Aujourd’hui, tout le monde publie des vidéos sur TikTok, YouTube, etc. C’est pourquoi, je viens de produire et poster mes deux premières vidéos sur YouTube, que vous pouvez regarder ici. Vous y découvrirez notamment des photos rares de la marmotte de l’Île de Vancouver, une espèce menacée d’extinction.

Suite à une augmentation des demandes venant de photographes des États-Unis et d’Europe, je viens d’ajouter plusieurs ateliers photo pour 2023. Il reste de la place pour les ateliers de 2022. Le nombre maximum de participants par atelier étant de cinq, n’attendez-pas trop longtemps avant de vous inscrire.

''I took her workshop and it was very informative at the same time enjoyable. we discovered amazing part of island and shoot lots of pictures. Catherine is very professional and friendly. She opened up my eyes in different perspective of photography. She is also very patient and explain everything in detail. By end of our workshop I am more comfortable with camera settings, composition. long exposure and work on tripod 😃. I highly recommend her workshop for anyone who wants step in nature, landscape and wildlife photography.'' Mehrdad S.

Je vous souhaite de profiter des longues journées d’été pour explorer la nature et photographier des animaux mignons comme ce bébé cerf à queue noire entrevu plus tôt cette semaine sur l’île de Vancouver.

Tel que vu à CBC Radio-Canada

Réalisation et montage : Pierre Beaudoin, caméra : Alexandre Lamic, CBC Radio-Canada

Photo : Alexandre Lamic, Radio-Canada

L’automne dernier, j’ai eu le plaisir d’être filmée par CBC Radio-Canada sur le terrain sur l’Île de Vancouver. Au cours de l’entrevue, je parle d’espèces menacées dans la région et d’espèces à risque d’extinction comme la marmotte de l’Île de Vancouver. Je mentionne aussi l’importance de l’éthique dans la photographie de nature pour préserver le monde naturel; nous pouvons tous faire notre part en gardant une distance sécuritaire avec les animaux, en évitant de les déranger dans leur routine et en n’interférant pas avec leur habitat.

Je vous invite à regarder la vidéo ici.

Photos abstraites, truc en photo et atelier du printemps

abstract photography of rust and peeling paint by Catherine Babault, Canadian photographer in British Columbia

Loop - Abstract Photography

Les voyages font partie de ma vie alors, après plus de deux ans sur place, il était temps de sortir de l’Île de Vancouver.

Je prépare toujours soigneusement mes aventures : lieux à visiter, sujets à photographier, trajets, etc., c’est pourquoi je me suis rendue à Astoria, en Oregon. Je souhaitais photographier un vieux wagon rouillé, des bateaux abandonnés et des bâtiments marqués par le passage du temps. Ma préparation et le temps consacré sur place pour ce projet ont donné des résultats au-delà de mes attentes. Vous pouvez en commander des tirages.

 

Comme je mentionne souvent au cours de mes ateliers, il est important de prendre son temps sur le terrain : trouver son sujet, penser à sa composition, bien réglé son appareil en fonction des résultats escomptés (cadrage, profondeur de champs, vitesse d’obturation, etc.) Cela permet d’obtenir de meilleurs résultats que de prendre plein de photos dans l’espoir que l’une d’entre elles sera assez bonne et ensuite tenter de corriger ses défauts en post-traitement.

Ce printemps, reconnectez-vous avec la nature et inscrivez-vous seul(e) ou avec un proche à une excursion photo sur l’Île de Vancouver, en Colombie-Britannique ! Le printemps est un temps idéal pour voyager : c’est une incroyable palette de couleurs, la fonte des neiges fait gonfler les cascades et les animaux sont occupés avec leurs petits : des sujets très photogéniques. Je vous invite à vous inscrire à mon atelier du 27 au 29 mai, les places sont limitées à 5 personnes.

Spot Distracting Elements

When I am on a photo excursion in the forest, the red-legged frog tends to appear when I least expect it. Their colour is an excellent form of camouflage. Often, it is their leap at my approach that catches my eye. During any chance encounter with an animal, it is sometimes difficult to predict their reaction: will they run away or stay put? That’s why my first reaction is to stop and anticipate their intentions. Then I started moving cautiously to avoid frightening them while I think about my composition and my distance from the animal.

red-legged frog, Vancouver Island, British Columbia, Canada. © Catherine Babault

Spot the distracting elements in this image.

I determine where the light is coming from and if there is a backlight. I identify elements such as a branch in front of the frog or any other shape or object that might distract the attention of the person looking at the photo. I move slowly and, once in position, I carefully deploy my tripod. A stressed frog will puff up its abdomen to deter predators. I therefore keep an eye on my subject to assess their level of comfort; if I notice that they are stressed, I leave even though I have not got a shot. The animal wellbeing is more important to me than my portfolio. Once the camera is mounted on the tripod, I adjust the settings and frame based on the intended result before releasing the shutter. Then I check the composition and histogram on the camera screen.

Because it is a chance encounter with a wild animal, everything happens very quickly and yet quietly so as not to stress it. Also I don’t overstay to avoid disturbing the animal in its routine.

Final result after I repositioned myself. Photo in full format.

Repérez les éléments distrayants

Lorsque je suis en excursion photo dans forêt, les grenouilles à cuisse rouge ont tendance à apparaître quand je m’y attends le moins. Leur couleur est une excellente forme de camouflage. Bien souvent, c’est leur saut à mon approche qui attire mon attention. Lors de toute rencontre fortuite avec un animal,  il est parfois difficile de prévoir leur réaction : vont-ils s’enfuir ou bien rester sur place ? C’est pourquoi ma première réaction est de m’arrêter et anticiper leurs intentions. Ensuite je bouge avec précaution pour éviter de les effrayer et je commence aussitôt à penser à ma composition et à ma distance par rapport à l’animal.

grenouille à cuisse rouge, Ile de Vancouver, Colombie-Britannique, Canada. © Catherine Babault

Cherchez les éléments distrayants sur cette photo.

Je détermine d’où vient la lumière et s’il y a un contre-jour. J’identifie des éléments comme une branche devant la grenouille ou tout autre forme ou objet qui pourrait distraire l’attention de la personne qui regardera la photo. Je me déplace doucement et, une fois en position, je déploie mon trépied lentement. Une grenouille stressée va gonfler son abdomen, c’est une façon de décourager les prédateurs. Je garde donc un oeil sur mon sujet pour évaluer son niveau de comfort; si je constate qu’elle est stressée, je pars même si je n’ai pas obtenu de photo. Le bien-être de l’animal est plus important pour moi que mon portfolio. Une fois l’appareil fixé sur le trépied, j’effectue les réglages et cadre en fonction du résultat visé avant de déclencher l’obturateur. Puis je vérifie la composition et l’histogramme sur l’écran de l’appareil photo.

Comme il s’agit d’une rencontre fortuite avec un animal sauvage, tout se passe très rapidement et cependant tranquillement pour ne pas le stresser. J’évite aussi de rester trop longtemps pour ne pas déranger l’animal dans sa routine.

grenouille à cuisse rouge, Ile de Vancouver, Colombie-Britannique, Canada. © Catherine Babault

Résultat final après m’être repositionnée. Photo en plein format.

Ateliers de photographie de nature sur l'Île de Vancouver, Colombie-Britannique, en 2022

Que vous soyez déjà sur l’Île de Vancouver ou que vous prévoyez de la visiter cette année, voici une liste de mes ateliers photo en 2022 :

  • 29 janvier - Strathcona Park

  • 26 février - Strathcona Park

  • 21-23 mars - Herring Spawn on Vancouver Island

  • 27-29 mai - Spring on Vancouver Island

  • 19-23 septembre - Tofino (en français seulement)

  • 3-7 octobre - Tofino

  • 13-16 octobre - Fall Colours on Vancouver Island

  • Ateliers photo d’une demi-journée, Vallée de Comox (en français seulement) : 7 mai, 4 juin, 2 juillet, 6 août

  • Ateliers photo d’une demi-journée, Vallée de Comox (en anglais seulement) : 14 mai, 11 juin, 9 juillet, 13 août

Si vous préférez, vous pouvez demander un atelier privé qui va d’une journée à plusieurs jours. Réservez tôt car je commence déjà à recevoir des demandes pour cet été.

Au plaisir de vous montrer mes endroits préférés sur l’Île de Vancouver pour la photographie de nature et de vous aider à améliorer vos techniques en photographie !

What makes my photo workshops different from others?

(Le texte en français suit)

  • I live on Vancouver Island. As a local, I know the area very well. I spend a lot of time in the field, all year long, no matter the weather, tracking wildlife and looking for the best places and times to photograph nature.

  • As an ethical nature photographer, I respect the environment: fauna and flora. The well-being and safety of wild animals always has priority over the participants’ aspirations. We limit our impact on their habitat as much as possible.

  • I offer a safe and friendly learning environment for everyone no matter their gender, sexual orientation, identity, background, culture, age or abilities. I am part of a minority myself.

  • During the workshops, my time is entirely dedicated to the participants, not to my own shots.

  • I am fluent in both English and French.

  • Learning does not stop at the end of the workshop. I am always available for follow-up questions.

En quoi mes ateliers de photo sont-ils différents des autres ?

  • Je vis sur l'île de Vancouver. En tant qu’habitante, je connais très bien la région. Je passe beaucoup de temps sur le terrain, toute l'année, quelle que soit la météo, à pister la faune et à chercher les meilleurs endroits et moments pour photographier la nature.

  • En tant que photographe de la nature éthique, je respecte l'environnement, la faune et la flore. Le bien-être et la sécurité des animaux sauvages ont toujours priorité sur les aspirations des participants. Nous limitons au maximum notre impact sur leur habitat.

  • J'offre un environnement d'apprentissage sûr et convivial pour tout le monde, quel que soit son sexe, son orientation sexuelle, son identité, ses origines, sa culture, son âge ou ses capacités. Je fais moi-même partie d'une minorité.

  • Pendant les ateliers, mon temps est entièrement dédié aux participants, pas à mes propres prises de vue.

  • Je parle couramment l'anglais et le français.

  • L'apprentissage ne s'arrête pas à la fin de l'atelier. Je suis toujours disponible pour les questions de suivi.

The making of my photo book Vancouver Island Wildlife

When I moved to Vancouver Island many years ago, I was fascinated by the diversity of fauna, flora and landscape. From the mountain meadows to the ocean, there are so many species to study and photograph. Some are permanent residents while others are seasonal visitors. All are very interesting. While exploring my new surroundings, I noticed the human impact on the environment and became aware of species at risk. With the help of a photo book, I hoped to show the beauty and diversity of Vancouver Island’s wildlife and raise awareness about our responsibility towards the conservation of its unique ecosystems.

For my book project, I researched many species to learn about their habitat, diet, biology, etc. I visited remote locations, sometimes by boat or floatplane. Often I got up in the middle of the night to be in the field by sunrise. I travelled long distances by vehicle and on foot. I walked in the snow, rain, fog and mud, sometimes I stepped on smelly things like rotten salmon on riverbanks. I prepared all my trips carefully because this is wilderness; I studied maps, topography, weather forecast, tide tables, sunrise and sunset times, and I maintained my vehicle in good condition, with an emergency kit and other essential items. This was a full-time project, working up to 60 hours a week, and it took me over a year to compile enough images for a photo book.

I edited thousands of images to select less than two hundred. My images had to be bold, uncluttered and well composed. I processed each one of them and converted them in CMYK for printing. Then I started to design the book and write the text. English is not my first language so I hired a professional translator in Victoria to proofread the text. I asked a professional photographer in my city to review my selection of images and give me honest feedback. At that point, I started to contact several printers in Canada before choosing one in Vancouver. I used offset printing instead of digital printing; although it is a lot more expensive, it is the best quality printing for a photo book. You could say that my book is 100% made in British Columbia from the subject to the printer. Some might think CAD$40 is expensive for a book but think about all the costs involved: camera equipment, travel expenses (gas, accommodation, meals), car maintenance, car insurance, business insurance, business licence, professional services (bush pilot, proofreader, printer, website…), and my time dedicated to this amazing project.

I feel very humble by the incredible success of this book. I won a Nautilus book award in the USA and received great feedback from the media. I am always touched to hear kind comments from readers in Canada, the USA and Europe. I hope that my book has achieved its goal: showing the beauty and fragility of our environment so that we are all aware of our collective responsibility towards its protection for future generations.

Order a copy

Holiday Season Shopping - C'est le Temps des Fêtes !

The Holiday Season is just around the corner. This year, send your loved ones who appreciate nature and photography a beautiful photo book on Vancouver Island, or a landscape, wildlife or abstract print, or book an in-person or online workshop. If you’re unsure which one they would prefer, ask for a gift certificate.

When you order a product or service from this website, you are contributing to the success of a small business owned by a woman. You are not sending me to space :-)

Le Temps des Fêtes arrive à grands pas. Cette année, offrez à vos êtres chers amoureux de la nature et la photographie un beau livre de photos sur l’Île de Vancouver ou bien un tirage de photo de paysage, abstraite ou animalière ou encore un atelier en personne ou en ligne. Si vous ne savez que choisir, demandez un certificat-cadeau.

Lorsque vous commandez un produit ou un service sur ce site Web, vous contribuez au succès d'une petite entreprise gérée par une femme. Vous ne m'envoyez pas dans l'espace :-)

Atelier au Congrès virtuel de l'APPIPC 2021

Le 22 octobre, j’ai eu l’honneur de donner un atelier sur la photographie de nature lors du Congrès virtuel de l’APPIPC dont le sujet cette année est En harmonie avec la nature. C’est toujours un plaisir de partager ma passion pour la photographie avec un auditoire intéressé et engagé.

Je donne des ateliers virtuels dans les écoles de la maternelle à la 12e année (K-12), en français et en anglais, en Amérique du Nord et au-delà. Contactez-moi pour réserver un atelier dans votre établissement scolaire.

À la télévision de Radio-Canada

Cet été, j’ai eu l’agréable surprise d’être contactée par le réalisateur de l’émission jeunesse ONIVA à Radio-Canada, qui souhaitait faire une entrevue pour présenter mon travail de photographe de la nature.

Cette semaine, j’ai eu le plaisir de rencontrer Pierre Beaudoin en personne sur l’Île de Vancouver pour concrétiser ce projet. J’ai apprécié cette première expérience devant la caméra dans une atmosphère relax et amicale et de montrer un de mes endroits préférés sur l’Île de Vancouver pour la photographie de nature en automne.

Le reportage sera prochainement diffusé à l’émission ONIVA et disponible sur YouTube. À suivre…

Pierre Beaudoin, réalisation, Alex, caméraman et Catherine, après le tournage.

Pierre Beaudoin, réalisateur, Alex Lamic, vidéographe, et Catherine Babault.

Photographier les wapitis de Roosevelt

Certaines espèces sont plus actives que d’autres aux aurores comme le wapiti de Roosevelt. Ce qui veut dire que je dois me lever en plein milieu de la nuit pour aller les photographier car la harde que je connais bien vit à plusieurs heures de route de chez moi.

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Je photographie cette harde depuis les dernières années et j’anticipe toujours beaucoup nos rencontres potentielles. Rien n’est jamais donné avec la faune. Parfois ils ne se montrent pas ou bien je dois attendre tranquillement pendant des heures.

J’ai un lieu préféré pour photographier cette harde de wapiti à partir d’une distance respectueuse et d’un point de vue dégagé. Au cours d’une récente visite, alors que je marchais vers ce lieu, j’ai remarqué que la harde se rendait déjà dans cette direction. J’ai donc commencé à marcher plus vite, mais silencieusement, afin que les wapitis ne remarquent pas ma présence. Je suis arrivée la première, j’ai mis mon trépied en place, effectué les réglages sur mon appareil photo et j’ai attendu quelques minutes. Je pouvais les entendre se mouvoir dans la forêt et marcher sur des bouts de bois secs. Lorsqu’ils sont sortis de la forêt, les femelles ont traversé la rivière en premier tout en entourant les petits, probablement pour les protéger d’éventuels prédateurs. Le dernier à apparaître, pour fermer la marche, était le cerf avec ses bois majestueux. Je n’avais que cinq minutes pour les photographier avant qu’ils ne disparaissent à nouveau de ma vue et j’ai apprécié chaque minute.

À chaque fois que je vois cette harde, je me sens privilégiée d’être le témoin de moments importants dans leur vie, de voir les femelles enceintes ou allaiter leurs petits, d’observer les jeunes s’amuser à se pourchasser et de voir le cerf marcher fièrement autour de son harem d’une douzaine de femelles. Avec le début de la saison du rut, j’espère pouvoir être en mesure de photographier leur comportement notamment celui du cerf.

La nature avant tout

L’éthique dans la photographie naturaliste

La plupart d’entre nous aimons être dans la nature pour y trouver de l’inspiration, pratiquer un sport ou tout simplement pour notre bien-être mental. Le grand air, la beauté des paysages et les rencontres fortuites avec des animaux nous permettent de nous retrouver et de souffler un peu. En tant que photographe naturaliste, je préfère nettement passer mon temps à l’extérieur que devant mon ordinateur. Cependant, lorsque je suis sur le terrain, je suis consciente d’être dans un monde qui ne m’appartient pas. Ici vivent des plantes et des animaux alors que je ne suis qu’un visiteur et il est clair que chacun de nos passages dérange des écosystèmes, des bulles de vie.

C’est pourquoi, je m’efforce de réduire mon impact sur l’environnement en appliquant des principes d’éthique dans mon métier de photographe, même si c’est parfois au détriment du résultat final de mes expéditions : ce qui est primordial pour moi n’est pas d’obtenir la photo du siècle mais bien de respecter la nature. La patience et la persévérance deviennent alors des facteurs clefs pour obtenir des photos intéressantes, notamment du comportement des animaux sauvages dans leur milieu naturel.

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Lorsque j’ai eu le privilège de photographier une wapiti en train d’allaiter trois petits, c’est elle qui a établi la distance entre nous et qui a déterminé la durée de la rencontre. Lorsqu’elle est repartie tranquillement dans la forêt, j’aurai pu la suivre dans un but personnel, celui d’obtenir plus de photographies, mais j’ai pensé au stress que ça leur causerait. Mon attitude calme et respectueuse envers la faune me permet de vivre des moments intimes comme celui-ci où chacun s’observe, s’évalue avant de poursuivre ses activités. Seules la patience et la détermination donnent d’excellents résultats, en plus de la satisfaction de respecter la nature.

Assouplissement des mesures frontalières pour les voyageurs entièrement vaccinés qui entrent au Canada

À compter du 9 août 2021, les citoyens et résidents permanents entièrement vaccinés des États-Unis, qui vivent actuellement dans ce pays, pourront entrer au Canada pour un voyage discrétionnaire (non essentiel). Le 7 septembre 2021, à condition que l'épidémiologie de la COVID-19 au Canada le permette, le gouvernement entend ouvrir ses frontières aux voyageurs qui se déplacent pour un motif discrétionnaire, peu importe le pays d'où ils arrivent, s'ils ont été entièrement vaccinés.

En apprendre davantage sur le site de l’Agence de la Santé publique du Canada.

Television Interview - Entrevue à la télévision

On 4 July, I had the pleasure of talking to Geneviève Murchison, host of the television program Connexion on Radio-Canada, about my passion for nature photography. What a great way to start the summer!

In case you missed it, you can watch it here. It’s in French and starts at the 17:00 mark.

Le 4 juillet, j’ai eu le plaisir de parler avec Geneviève Murchison, animatrice du programme de télévision Connexion sur Radio-Canada, de ma passion pour la photographie de nature. Quelle superbe façon de commencer l’été!

Si vous avez manqué l’émission, vous pouvez la revoir ici. Ça commence à la 17e minute.

Les ateliers de photo de nature maintenant ouverts aux Canadiens de partout au pays!

À partir du 1er juillet 2021, la Colombie-Britannique ouvre ses portes aux voyageurs venant du Canada. Pour les voyageurs internationaux, la frontière canadienne reste fermée pour les voyages jugés non-essentiels, même pour les voyageurs vaccinés.

Nos ateliers de photo de nature sont donnés en plein air seulement et nous prenons toutes les mesures nécessaires pour assurer votre sécurité en temps de pandémie. Le port d’un masque n’est pas requis à l’extérieur, toutefois nous demandons à tous ceux qui participent à l’évènement en plein air de respecter une distance physique de 2 mètres, à moins que vous ne viviez ensemble. Nous fournissons du gel désinfectant pour les mains.

N’hésitez pas nous faire parvenir vos questions et commentaires durant cette période de transition vers un retour à la normale.

En savoir plus sur les ateliers offerts cet été.

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Directives du Gouvernement de la Colombie-Britannique (en anglais seulement) : https://www2.gov.bc.ca/gov/content/covid-19/info/restrictions

The story behind these images - L'histoire derrière ces photos

Earlier this spring, I noticed a nest in a second-growth forest that had been slightly damaged by the wind and the rain this winter. I wondered if it was going to be restored and used again. When I returned to this location this week, I found the nest which seemed to be in better condition. Yet no bird was sitting on it. I walked away a bit and waited to see if a bird was coming in order to find out what type of bird it was.

Then a female yellow warbler appeared in a tree a few meters from the nest. My attention immediately fell on her and, without moving so as not to frighten her, I tried to photograph her through the leafy branches. Not getting satisfactory results, I ended up walking away. Then I wondered if this was a diversionary tactic on the part of the warbler. I was then about ten meters away and the foliage was obstructing the nest, but I saw a small yellow dot on it and, using my telephoto lens, I zoomed in to find the warbler was sitting on her nest.

Delighted with my discovery, I left because I did not want her to abandon her nest after being disturbed.


Plus tôt ce printemps, j’ai remarqué un nid dans une forêt de seconde venue qui avait été un peu endommagé par le vent et la pluie cet hiver. Je me suis demandée si il allait être restauré et utilisé à nouveau. Lorsque je suis retournée à cet endroit cette semaine, j’ai retrouvé le nid qui semblait en meilleure condition. Pourtant il n’y avait pas d’oiseau qui couvait. Je me suis éloignée un peu et j’ai attendu de voir si un oiseau allait venir afin de découvrir de quel type d’oiseau il s’agissait.

Puis une paruline jaune est apparue dans un arbre à quelques mètres du nid. Mon attention s’est aussitôt portée sur elle et, sans me déplacer pour ne pas l’effrayer, j’ai essayé de la photographier au travers des branches feuillues. N’obtenant pas de résultats satisfaisants, j’ai fini par m’éloigner. Puis je me suis demandée si il s’agissait d’une tactique de diversion de la part de la paruline. J’étais alors à une dizaine de mètres et le feuillage obstruait le nid mais j’ai distingué un petit point jaune dessus et, à l’aide de mon téléobjectif, j’ai zoomé pour découvrir que la paruline couvait son nid.

Ravie de ma découverte, je suis partie car je ne voulais surtout pas qu’elle abandonne son nid après avoir été dérangée.

Photo Workshops during the COVID-19 Pandemic - Ateliers photo pendant la pandémie de COVID-19

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All the workshops are given in small groups (5 participants max) and in the outdoors so you are less likely to get or spread COVID-19. You can either join an already scheduled workshop or ask for a private workshop for yourself or as members of the same bubble at no extra cost. We offer half-day, weekend and multi-day workshops all year-round. Feel free to contact us for details.

During the pandemic, we take all necessary precautions to ensure your safety. We ask everyone attending the outdoor event to maintain a physical distance of 2 metres between one another, unless you reside together. We recommend the use of a mask and we supply hand sanitation gel.

The day prior to the start of the workshop, you will be asked whether you have symptoms of COVID-19, have been in close contact with someone who has confirmed or suspected COVID-19. If you have any symptoms of COVID-19 prior to the workshop, please inform us immediately; we will reschedule you for another workshop once you have fully recovered.

Below are the current travel restrictions for Vancouver Island, BC:

  • Vancouver Island residents are allowed to travel within the Vancouver Island Health region for recreational purposes.

  • For British Columbians, travel is allowed within your health zone. Non-essential travel between health zones continues to be restricted.

  • For Canadians, all non-essential travel to BC must be avoided until further notice.

  • For international visitors, the Canadian border remains closed for non-essential travel, including those who have been vaccinated.

For current travel information, visit https://www.hellobc.com/what-you-need-to-know/

Further details on the current orders can be found at: gov.bc.ca/COVID-19

Ateliers photo pendant la pandémie de COVID-19

Tous les ateliers sont donnés en petits groupes (5 participants max) et en plein air donc vous êtes moins susceptible d'attraper ou de propager le COVID-19. Vous pouvez soit rejoindre un atelier déjà programmé, soit demander un atelier privé pour vous-même ou en tant que membre de la même bulle, et ce, sans frais supplémentaire. Nous proposons des ateliers d'une demie-journée, d'un week-end et de plusieurs jours tout au long de l'année. N'hésitez pas à nous contacter pour plus de détails.

Pendant la pandémie, nous prenons toutes les mesures nécessaires pour assurer votre sécurité. Nous demandons à tous ceux qui participent à l'événement en plein air de maintenir une distance physique de 2 mètres, à moins que vous ne viviez ensemble. Nous recommandons le port d'un masque et nous fournissons du gel désinfectant pour les mains.

La veille de l'atelier, nous vous demanderons si vous avez des symptômes de COVID-19 et si vous avez été en contact étroit avec un cas confirmé ou suspecté de COVID-19. Si vous avez des symptômes de COVID-19 avant le début l'atelier, veuillez nous en informer immédiatement ; nous vous reporterons votre inscription à un futur atelier lorsque vous serez complètement rétabli.

Vous trouverez ci-dessous les restrictions de voyage courantes pour l'île de Vancouver, en Colombie-Britannique :

  • Les résidents de l'île de Vancouver sont autorisés à se déplacer dans la région sanitaire de l'île de Vancouver à des fins récréatives.

  • Pour les Britanno-Colombiens, les déplacements sont autorisés dans votre zone sanitaire seulement. Les déplacements non essentiels entre les zones sanitaires continuent d'être limités.

  • Pour les Canadiens, tout voyage non essentiel en Colombie-Britannique doit être évité jusqu'à nouvel ordre.

  • Pour les visiteurs internationaux, la frontière canadienne reste fermée pour les déplacements non essentiels, y compris pour ceux qui ont été vaccinés.

Pour les dernières informations sur les voyages, visitez : https://www.hellobc.com/what-you-need-to-know/ (en anglais seulement)

Pour plus de détails sur les mesures en cours, visitez : gov.bc.ca/COVID-19 (en anglais seulement)

The story behind the image - L’histoire derrière l’image

Between 8,000 and 10,000 black bears inhabit Vancouver Island. The opportunities to meet one are high so it is better to learn more about the species. I recommend building a network of specialists such as conservation officers, biologists and knowledgeable local wildlife photographers. The best time of the year to observe bears is during the salmon return when bears converge to estuaries and rivers to fatten up on salmon before hibernation.

I took this image at a popular hatchery. In order to avoid the big crowds, I started early in the morning. It was technically challenging because the light was strong so there was a lot of contrast between the bright and dark areas. I used a telephoto lens to keep a safe distance and a polarizing filter to reduce the light reflection on the water and leaves. There may be long periods of time between bear appearances: some go straight back to the forest after getting a salmon, others laze around to the delight of photographers.

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Entre 8 000 et 10 000 ours noirs vivent sur l’Île de Vancouver. Les opportunités d’en rencontrer un étant élevées, il vaut mieux en apprendre davantage sur l’espèce. Je suggère d’établir un réseau de spécialistes comme des officiers de la conservation, des biologistes et des photographes animaliers locaux bien informés. La meilleure période de l’année pour observer les ours est lors de la fraie du saumon lorsque les ours convergent vers les estuaires et les rivières pour s’engraisser de saumon avant l’hibernation.

J’ai pris cette photo dans une station d’alevinage de saumon populaire. Afin d’éviter la foule, j’ai commencé tôt le matin. C’était un vrai défi technique car la lumière était forte donc il y avait beaucoup de contraste entre les zones d’ombre et de lumière. Je me suis servie d’un téléobjectif pour garder une distance sécuritaire et j’ai utilisé un filtre polarisant pour réduire les reflets de la lumière sur la rivière et les feuilles. Il peut se passer de longues périodes de temps entre les apparitions des ours, certains retournent directement dans la forêt après avoir pris un saumon, d'autres se prélassent pour le plus grand plaisir des photographes.